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    Ecrit le 3 Mars 2012

     

    Illusion d'optique de Sophie Ducharme      Illusion d’optique de Sophie Ducharme porte très bien son nom. En effet, le livre attire immédiatement le regard, de par sa couverture, son nom attrayant et même le quatrième de couverture d’une originalité inouïe, malheureusement la lecture du livre est une vraie déception.

        

     

                Illusion d’optique est un livre qui se sépare en deux parties. La première a un style ressemblant aux scénarios. On décrit l’endroit et les circonstances mais les actions sont généralement décrites par la pensée d’un des narrateurs. Quant à la seconde partie, elle est purement narrative. Toutefois Illusion d’optique est avant tout l’histoire de Louise Soulanges qui atteint ses dix-huit ans dans les premières pages du récit. Son père a disparu voilà huit ans et sa mère refuse de lui en donner les raisons. C’est simple, son père est un sujet tabou. Déçue qu’il ne soit pas là le jour de son dix-huitième anniversaire, alors qu’elle n’attendait que ça, Louise décida de jeter les cadeaux que lui avait offerts son père. C’est ainsi qu’elle rencontrera Sébastien qui veut courir le marathon, lors d’un accident. Cette drôle de rencontre, plutôt douloureuse, lui permettra de rencontrer René, le grand-père de Sébastien, médecin au grand cœur élevant seul son petit-fils ainsi que Solange, une sage-femme douce et bonne à l’instinct maternel surdéveloppé. Ces nombreux contacts lui seront d’une grande aide pour savoir ce qu’il est advenu de son père et les raisons qui l’ont poussés à quitter sa femme et sa fille.

     

                On m’a demandé de lire cette histoire dans le cadre de l’école. C’est une très courte histoire d’une nonantaine de page. On est immédiatement jeté dans l’histoire sans aucune somation, on est un peu perdu au début. Qui est Louise ? Que veut-elle ? On est plongé dans un brouillard constant tout au long de l’histoire. On passe simplement de pensée en pensée. On ignore réellement ce qui se passe autour des protagonistes. On coupe des passages qui semblent important. On passe de la chambre de Louise à une berge près de la rivière avec une simple indication du nom du narrateur suivant.

    Quand bien même on est dans les pensées des personnages, il me semble que l’on manque d’indication quant à eux. De ce simple fait, on est incapable de rentrer dans l’histoire d’apprécier les personnages. On ne connait rien d’eux si ce n’est leur nom et une petite bride du passé.

    De plus, les personnages sont bien trop niais. Ils sont supposés avoir vécus des choses douloureuses mais se portent comme un charme sans que l’on ressente réellement la douleur de ses choses. Que ce soit dans leurs pensées ou leurs paroles. Ils sont bien trop idéalistes! Je n’ai pas pu m’attacher aux personnages, pas pu apprécier lorsqu'il leur arrivait quelque chose de bon.

    L’histoire était monotone et sans aucun fil conducteur et tout ça pour arriver à une fin parfaitement heureuse, voire niaise, d’un illogisme à coupé le souffle.

                En effet, les personnages d’Illusion d’optique vivent en pleine illusion.


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  • Écrit le 4 Mars 2015

    L'affaire Caïus de Henry WinterfeldJe me suis intéressée à ce livre dans le cadre d’un roman sur la Rome Antique. J’ai tout d’abord été dubitative en voyant le style enfantin du texte. À vrai dire, je croyais même le lire rapidement.
    Finalement, cet ouvrage est assez agréable. Je confondais quelques fois les personnages car je trouve qu’on ne les dissocie pas beaucoup l’un de l’autre mais ça ne retirait rien à l’histoire elle-même. J’ai même été surprise de savoir qui était le véritable coupable ! J’avoue même sans honte que je ne l’avais pas vu venir, même pas un peu.
    Toutefois, j’ai l’impression que le livre a quelques problèmes de logiques (ou est-ce moi qui ait mal compris ?). Par exemple, ils disent au début de l’histoire que « Caïus est un âne » est écrit en grand sur le temple (puisqu’on le voit sans problème depuis la maison du père de Caïus) mais après, on dit qu’il fait la taille de la tablette de Rufus…
    J’ai aussi trouvé qu’il y avait un peu trop de note qui nous retirait de la lecture.
    À part cela, le voyage a été intéressant et m’a permis d’apprendre de nouvelles choses sur la Rome antique.


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  •   Écrit le 31 Mars 2012

     

    La Route Cormac McCormickAprès l’apocalypse, l’instant réflexion.

                La route est l’histoire d’un père et d’un fils, dont on ne connait pas le nom. Ils évoluent dans un monde post-apocalyptique. Les humains se sont séparés en deux catégories. Ceux qui survivent sur les réserves, cherchant à manger dans le sol, les maisons, les arbres dévastés, etc., appelé « gentils » par les héros. Et ceux qui sont devenu cannibale, appelé « méchants ».

     

    La route est un livre captivant, il est vrai que l’on s’y perd un peu quelque fois à cause de l’inactivité du livre et pourtant, on sent tout dedans. Amour, protection, tristesse, peur et encore tant d’autres émotions. Il y a une autre difficulté du fait que les dialogues sont mal définis, par exemple, il n’y a même pas de tiret et peu d’indication de qui parle mais d’un autre côté, on peut ainsi mieux se projeter dans ce monde effrayant, où n’importe quel « ennemi » peut surgir à n’importe quel instant. Monsieur McCarty nous emmène dans un univers noir et saisissant où les rares actions vous coupe le souffle, tant par la description et le réalisme des scènes. On s’y croirait. La route est vraiment un livre captivant et ensorcelant.

     

                On ne quitte pas la route une fois qu’on l’a empruntée.


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  • Écrit le 16 octobre 2014

     

    La vie du diable n'est pas facile de Martin LemaireJ’ai été menée à lire la vie du diable n’est pas facile de Martin Lemaire suite à une discussion avec une amie qui l’avait adoré. Ayant entendu déjà parler de ce livre à l’école et ayant apprécié le résumé, je me suis laissée tenter. Surtout que mon esprit chauvin était poussé dès lors qu’une partie de l’histoire se déroule dans ma belle Belgique et que j’ai ouï dire que l’auteur était belge. Ajoutez à cela que l’on m’a rapporté qu’il s’était édité à compte d’auteur, en somme, pour moi, une petite similitude avec lui. Une envie de coup de pouce.

     

    C’est alors que j’ai approfondi un peu le mot « déception ». Au cours d’un livret de cent pages, l’auteur nous emmène d’un personnage à l’autre de son histoire avec des petits en-têtes qui doivent faire probablement office d’indication ou de chapitres. Même avec eux, je ne savais jamais qui l’on suivait et ce qu’il se passait. Pire encore : tous les personnages parlaient de la même façon. Impossible de distinguer le prêtre Guilain (en espérant ne pas me tromper dans le nom) de Lucifer ou même d’Ambre. S’il était déjà crispant de voir Dieu et Lucifer parler pareillement, il était encore plus énervant de voir un prêtre âgé et une vieille femme parler comme des chartriers.

     

    L’auteur sauve les meubles en ayant inventé un monde intéressant où tout ce que l’on s’imagine est inversé et en nous sortant de son chapeau un beau petit retournement de situation. Malheureusement, ça n’a pas réussi à combler la sensation d’ennui et d’inactivité totale de l’histoire. Chaque essai se voit impitoyablement avorter. Et là où il aurait pu nous offrir son Monde en le développant, il ne nous offre qu’une ébauche fade et inaboutie.

     

    Je ne le déconseille pas, parce que j’ai réellement apprécié les idées enfouies dans l’écriture incertaine de Monsieur Lemaire, mais je ne le conseillerais pas non plus.

     

    Si un jour vous venez à lire ce livre, à vous de vous faire votre avis ! 


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  • Écrit le 19 Février 2015

    Le baiser de l'Ange d'Elizabeth ChandlerLorsqu’on l’on lit le résumé de l’histoire et que l’on voit la collection originale du livre, on s’attend à lire un roman fantastique. Mais on tombe vite dans la déception. L’histoire commence directement sur l’accident avec le daim et on est projeté d’un coup plusieurs mois en arrière sans même être prévenu. Et au lieu de baigner dans le fantastique, on est plongé dans une romance fade pour adolescent comme on en voit partout. Pendant 90% du livre on suit les élucubrations d’Ivy qui est amoureuse de Tristan mais qui ne veut pas se l’avouer.
    On a que peu de rebondissements et lorsqu’ils surviennent, ils sont écartés au profit de cette romance qui se passe si vite qu’elle en est désagréable. En outre, à mon humble avis, les personnages restent en surface, sont fades ou donnent juste envie d’être violemment claquer. Ivy est présenté comme un sex-symbol mais ce n’est qu’une petite gamine un brin prétentieuse qui a déjà le code de « je sais tout faire ». Eh oui. Parce qu’elle a peur de l’eau mais cinq chapitres plus tard, c’est déjà oublié !
    Ce qui m’a bien dégoûté c’est qu’Elizabeth Chandler remet TROIS FOIS le même exact passage.
    Mis à part cela, le style de l’auteur est assez transparent. Il se lit rapidement mais n’a rien de bien spécial. La seule chose qui me dérange dans le style n’est due qu’à une traduction trop littérale. En anglais, la répétition n’existe pas, mais bien en français. Hors, aucune des répétitions n’a été écartée et on se retrouve vite à lire 17 fois le nom « Ivy » dans le même paragraphe ce qui est très dérangeant.
    Enfin… lorsqu’on arrive aux derniers chapitres, après l’accident, l’histoire devient enfin intéressante mais elle est malheureusement mise en « avance rapide » pour combler tout le temps perdu sur une romance niaise.

    Écrit le 21 Février/2015

    L’aspect fantastique est beaucoup mieux traité dans ce second tome et il s’enroule avec beaucoup Le baiser de l'Ange d'Elizabeth Chandlerde talents autour d’une histoire policière dont les éléments nous envoient en plusieurs directions. Il y a tant de question dont on brûle de savoir la suite. Tant d’éléments surprenant qui nous mette en haleine et nous donne envie de tourner les pages pour en savoir davantage.
    Malheureusement, cette haleine est détruite par toutes les élucubrations amoureuses et les états d’âmes d’Ivy. On nous la présente comme parfaite mais il ne s’agit en réalité que d’une petite égoïste dépeinte en narration et par ses amies comme merveilleuse. Vous trouvez merveilleux, vous, une personne qui ment à sa meilleure amie et à son « presque-frère » au lieu de parler platement ? Vous trouvez merveilleux, vous, une jeune femme qui pense « je ne peux pas faire ça à ma meilleure amie » pour la forme mais ne fait rien pour ne pas le faire, justement.
    La romance entre Ivy et Gregory est tout simplement ignoble. Ivy se dit qu’il n’est pas la personne qu’il lui faut mais continue de courir derrière. Pire, elle bassine tout le monde avec son grand-amour mais ne fait rien pour préserver sa mémoire. Peut-on vraiment parler d’amour avec un grand A, comme veut nous le dépeindre Elizabeth Chandler, en ce cas ?
    J’ai aussi été dégoûtée de la façon qu’à Ivy d’agir avec son frère. Elle ne croit plus aux anges alors lui n’a pas le droit ? Encore des traits qui rendent ce personnage perfide et absolument pas « trop génial ».
    Quant à Tristan, je lui reproche la rapidité avec laquelle il parvient à user de ses pouvoirs. Il sait faire tout ce qu’il veut, ou presque, ce qui me laisse assez dubitative.

     

    Écrit le 23 Février 2015

     

    Le baiser de l'Ange d'Elizabeth ChandlerCe troisième tome achève une histoire. Il est de loin mon préféré, mieux ficelé, avec bien plus de rebondissement, avec des passages qui nous tiennent en haleine et nous donne simplement envie de tourner la page. Il met un petit moment à démarrer mais, dès que les éléments commencent à s’enchâsser, on n’attend plus que savoir le dénouement. Et, malgré que ce fût ma deuxième lecture, j’ai encore été surprise de certains éléments.
    Les personnages attrapent un peu plus de substance et devienne de plus en plus réel.
    Si je trouve qu’Elizabeth Chandler a fait une prouesse et que ce troisième tome me rappelle pourquoi j’ai décidé de conserver ces tomes, je ne peux que me plaindre du message sous-jacent qu’elle libère. Suzanne ne cesse de briser son amitié avec Ivy pour ensuite la reformer, elle ne la croit pas, elle ferait tout pour Gregory au profit de son ami. Et quant à Ivy ? Elle a un amoureux différent dans chaque livre, elle semble même complètement oublier Tristan d’ici la fin. Pour moi, l’auteur fait passer là un exécrable message au lieu de rendre ses personnages vivants. Ça donne l’impression que l’amitié et l’amour ne comptent pas tellement après tout.
    Vis-à-vis de la fin, même si je l’ai trouvée excellente, j’ai tout de même deux reproches à faire : Premièrement, le passage avec les démons qui est très diffus et que je n’ai absolument pas compris (mais ça peut être ma faute, me direz-vous). Deuxièmement, la vraie fi en elle-même qui me semble très abrupte et survolée.

     

    Mais ce n’est là que mon avis et il me tarde d’entendre le vôtre.
    J’ai découvert qu’une suite avait été écrite. Je vais me la procurer pour savoir ce que nous révèle la suite de ses aventures et si elles ont une raison d’exister autre que l’attachement d’un auteur à ses personnages (ou autre chose…)

     

     

    Et voici la suite que j'ai trouvée ! Voyons voir ce qu'elle me réserve !

     

    En écriture, on nous prévient toujours qu’il ne faut pas tomber « dans la suite de trop » à comprendre : « Fonce pour l’écrire, amuse-toi mais… ce n’est peut-être pas bon de le publier… ». Et « le retour de l’ange » me donne une immense impression de suite VRAIMENT en trop. Par presque tous les points.
    Tous.

     

    Écrit le 20 Mars 2015

    Tout d’abord… Elizabeth Chandler nous supprime la plupart des personnages qui Le baiser de l'Ange d'Elizabeth Chandlerexistaient dans la première saga et les remplace par d’autres. Philip apparaît à peine, Suzanne n’est que suggérée et même si Beth et Will sont là, ils deviennent très transparent. Hors, pour une suite qui vise à être lue en tant que suite, c’est très dérangeant. D’autant plus quand on nous présente à peine tous ses personnages.
    Ensuite, Ivy recommence ENCORE son manège de changer de partenaire par livre. À croire que c’est vraiment une habitude chez elle. Qu’elle a un cœur d’artichaut ou qu’elle est volage. Ce n’est toujours pas, à mon sens, le genre d’héroïne à présenter à des jeunes lecteurs. D’autant plus lorsqu’elle s’entête à se croire la meilleure, à agir comme bon lui semble et à rejeter ses amis pour les exactes mêmes raisons que dans la première saga. Mais visiblement, Ivy est incapable de faire autre chose que s’amouracher des premiers venus.
    Ensuite… L’histoire est trop un copier-coller de la première saga. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai soupiré en voyant les similitudes. L’auteur y voit peut-être une bonne idée en faisant des rappels à l’histoire originale mais ce n’est pas intéressant de revoir un accident de voiture, de revoir le même genre de personnes et de relations pour remplacer les autres.

     Écrit le 1/04/2015

    Le baiser de l'Ange d'Elizabeth ChandlerEn lisant ce second ouvrage, la déception continue de poindre. Je crois que je n'ai jamais mis autant de temps pour lire un livre. Dès que j'en avais fini avec trois chapitres, je laissais tomber, excédée. Non seulement les personnages n'évoluent pas et sont toujours aussi énervant mais on s'enfonce dans un schéma de répétition.

    PIRE ! L'auteur ne nous le cache même pas et nous dit "Vous voyez, c'est pareil !". Les rares idées innovantes sont laissées sur le côté, à peine exploitée. Tous les passages avec Beth valaient la peine d'être étendu au lieu d'être à peine effleuré, ne laissant aucune évolution au personnage. À un tel point que toutes les actions avec Beth se retrouvent sans aucune explication. Pareillement avec Will qui semble tomber amoureux de Beth mais on en est pas sûr. Forcément, l'auteur préfère encore s'embêter avec des histoires d'amoureux qui tournent en rond...

    Enfin ! Je ne peux que râler sur les incohérences dont l'auteur à fait preuve. Par exemple pour la scène du suicide où le suicidé en question survit. Parce que, non, si on se pend, on meurt, ce n'est pas l'étouffement qui entraîne la mort... Et je passerais sur le passage où Ivy fait des révélations en présence de son ennemi et qu'elles pleurent pendant des heures parce qu'elle ne comprend pas comment il a pu l'apprendre.

    Le seul point positif c'est que, cette fois, Ivy ne passe pas d'homme en homme.

    Je n'ai jamais été aussi déçue de lire une suite de saga. Et dire qu'il reste encore un volet...

    Écrit le 8/04/2015

    Je ne sais si c'est un bien ou si c'est affligeant mais le troisième volet est réellement intéressant. Plus exactement, il vaut largement le volet 2 de la première saga, avec quelques points négatifs bien sûr.Le baiser de l'ange - Le retour de l'ange de Elizabeth Chandler

    Tout d'abord, le fait que l'auteur ne peut s'empêcher de faire un nouveau couple et qu'elle décide donc, puisqu'Ivy n'est plus libre, de se rabattre sur Will et Beth. Si le couple va bien et qu'on en avait les prémices dans le volet deux, ça ne fait passer les personnages que pour des sans-cœurs, surtout quand ces élucubrations n'ont qu'une place réduite.

    Ensuite, l'auteur continue son enquête sur Luke sur le côté mais elle est tellement entrecoupée d'autres actions et interrompt tellement la principale que toutes ces interludes sont plus agaçantes que plaisantes. D'autant plus que cette enquête devient vraiment effacée, effleurée. Et pour cause : Elizabeth Chandler veut parler de ces histoires d'amour ! Il est même d'ailleurs difficile d'avoir les aboutissements de l'histoire principale sur Gregory.

    D'ailleurs la fin en elle-même (de raconter très vite ce que tout le monde advient) est assez ennuyante en soi.

    [SPOILER FIN]

    Elizabeth Chandler décide de faire se suicider Ivy. Pour moi, elle agit trop vite mais admettons que c'est l'adrénaline. Mais cette fin m'agace. L'héroïne passe encore pour une mary-sue parfaite en faisant cet acte sans peur. De plus, écrasée sous l'arbre elle réussit encore à crier "je t'aime pour l'éternité" et Lacey qui HAIT Ivy, la pleure. Trop de chose qui casse un roman qui se révélait pourtant enfin prometteur.

    La mort de Gregory elle-même me semble bien trop précipitée, mais soit...

     

    J'espère seulement qu'Elizabeth Chandler ne fera pas une suite car il n'y aurait pas de volet 4 pour sauver cette saga.


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